- En septembre, les précipitations efficaces tendent plus ou moins vers un équilibre sur l’ensemble de la région RMC. Cependant dans un large secteur Montpellier-Nîmes-Arles, ce bilan est franchement positif du fait des épisodes pluvieux cités précédemment. Par contre le bilan hydrique reste négatif sur le sud des Alpes, le Roussillon et sur l’axe Valence-Mâcon ainsi que sur la plus grande partie du département de la Corse.
- Au cours de ce mois d'octobre, les précipitations efficaces redeviennent excédentaires sur l’ensemble du bassin. Il est même franchement excédentaire sur les contreforts du Massif Central et sur l’ensemble des régions allant de la Franche-Comté au sud de la Drôme. Seules demeurent quelques zones déficitaires de faible étendue comme sur l’est du département de la Corse et sur de minces franges littorales de la Côte d’Azur ou du Languedoc.
- Toutefois, l'expérience a montré que des pluies très importantes se produisant en septembre / octobre, ne contribuent que très peu à la recharge des aquifères sur le long terme. Une situation similaire avec des pluies encore plus intenses, s'est produite en septembre 2002 dans le Gard, lequel n'a pas montré durant la sécheresse de l'été 2003, des réserves plus importantes pour autant
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