- en juin, l’effet estival commence à se faire sentir sur la totalité de la Côte d’Azur avec une accentuation des faibles cumuls inférieurs à 50 mm depuis septembre 2000 jusqu’à la hauteur d’Orange. La région de Perpignan, particulièrement peu arrosée depuis le mois de septembre 2000, fait apparaître le premier noyau déficitaire sur la totalité de la saison hydrologique. Pour l’est de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, ces faibles hauteurs de précipitations efficaces cumulées se font sentir jusqu’à Digne et sur une bonne moitié du département du Var. La région Niçoise, fortement arrosée en début de saison hydrologique reste encore excédentaire en terme de cumul, malgré les faibles précipitations enregistrées en juin. Un autre noyau de faibles hauteurs de précipitations efficaces cumulées commence à bien apparaître dans les monts du Lyonnais et du Beaujolais qui présentent des hauteurs comprises entre 100 et 150 mm, contre 150 à 200 mm lors du dernier calcul à la fin du mois de mai 2001. Les bonnes précipitations enregistrées en Franche-Comté et dans le nord des Alpes contribuent toujours à faire de cette zone la plus arrosée en terme de précipitations efficaces cumulées depuis septembre 2000. Compte tenu des mois précédents, fortement excédentaires en précipitations, la situation en terme de hauteurs efficaces cumulées depuis septembre 2000 reste favorable à l’exception des régions méditerranéennes déjà citées. En Corse, la situation s’est beaucoup détériorée depuis le mois de mai du fait de l’absence quasi-totale de précipitations et d’un fort ensoleillement. | |