En juin, le bilan hydrique potentiel négatif s’accentue classiquement, logiquement sur tout le pourtour méditerranéen et la quasi totalité de Alpes du sud, mais aussi sur une très grande partie de l’axe Rhône-Saône jusqu’à hauteur de Dijon. La tendance générale est à la baisse du bilan hydrique potentiel, essentiellement en raison de la très forte canicule de mi-juin qui a occasionné des ETP très fortes durant ce mois. Malgré cela, le bilan hydrique potentiel cumulé depuis septembre 2001 reste positif et localement fortement positif sur le sud des Vosges, le Jura, le Nord des Alpes jusqu’au Vercors et les Cévennes. Le département de la Corse montre toujours un bilan hydrique potentiel très contrasté entre la zone centrale excédentaire et les parties nord et sud de l’île plus déficitaires. | |